Mosanto Bee
Auteur : Otist
Date : Juin 2022 (photos prises en 10/2022)
Otist
Site officiel
Cette fresque a été réalisée dans le cadre de la huitième édition du « Street Art Fest » de Grenoble.
Elle est l’œuvre d’Otist, un artiste pochoiriste grenoblois qui exprime à travers ses créations, sa vision du monde sur notre société moderne qui a totalement modifié notre rapport à l’autre, à la culture, à l’éducation, aux valeurs humaines.
Voici le commentaire qu’il fait de son œuvre :
« Le Géant de la Biochimie Monsanto investit dans des entreprises tel que Beeologics, spécialisées dans la recherche sur les abeilles.
Spécialisé dans le développement de semences génétiquement modifiées et la production de produits phytosanitaires, Monsanto s’est lancé dans le bio-contrôle et s’attaque désormais aux abeilles.
Pour minimiser l’effondrement des abeilles, Beeologics axe son travail sur des solutions portant sur des répliques d’ARN permettant aux pollinisateurs de synthétiser les protéines nécessaires à la lutte contre certains virus.
Une technologie qui devrait être développée dans les prochaines années et qui, si elle n’est pas aussi lucrative que les autres secteurs dans lesquels investit Monsanto, offre à la firme un joli coup de communication tendant à faire oublier que l’industrie des pesticides est la PRINCIPALE responsable de la disparition des abeilles. ».
Elle est l’œuvre d’Otist, un artiste pochoiriste grenoblois qui exprime à travers ses créations, sa vision du monde sur notre société moderne qui a totalement modifié notre rapport à l’autre, à la culture, à l’éducation, aux valeurs humaines.
Voici le commentaire qu’il fait de son œuvre :
« Le Géant de la Biochimie Monsanto investit dans des entreprises tel que Beeologics, spécialisées dans la recherche sur les abeilles.
Spécialisé dans le développement de semences génétiquement modifiées et la production de produits phytosanitaires, Monsanto s’est lancé dans le bio-contrôle et s’attaque désormais aux abeilles.
Pour minimiser l’effondrement des abeilles, Beeologics axe son travail sur des solutions portant sur des répliques d’ARN permettant aux pollinisateurs de synthétiser les protéines nécessaires à la lutte contre certains virus.
Une technologie qui devrait être développée dans les prochaines années et qui, si elle n’est pas aussi lucrative que les autres secteurs dans lesquels investit Monsanto, offre à la firme un joli coup de communication tendant à faire oublier que l’industrie des pesticides est la PRINCIPALE responsable de la disparition des abeilles. ».
