Plein Champ 2023
Auteur : Ernest Illm
Date : Juin 2023 - (photos prises en 07/2023)
Adresse : Parc du Gué-de-Maulny - Le Mans (72)
Ernest Illm
Cette fresque a été réalisée dans le cadre de l’édition 2023 du festival « Plein Champ » du Mans.
Comme il est devenu l’habitude, une trentaine d’artistes ont investi les plaques de bétons disséminées dans le parc.
Cette fresque est l’œuvre d’Ernst Illm, un artiste marseillais que je découvre ici.
Influencé par les mythes, les fractales ou la cosmologie, Ernst Illm oriente sa production autour de la lumière et de ses textures, avec un certain attrait pour les « figurations abstraites », l’art scientifique ou le psychédélisme.
Le titre de l’œuvre est « The Last Dinosaur ». Elle est composée de trois parties
« Sur le premier panneau, une sorte de physique de départ, l'ère de Planck.
Au centre, un de nos lointains prédécesseurs, le dinosaure (ici nommé Endver) au comportement désigné, presque grotesquement humain : un clin d'œil technologique analogue au nôtre.
Enfin à droite, éléments semi-réels, on peut les définir par des mots ou des aspects, mais leur sens profond se réduit dans cette même énigme
Dans quelle mesure quelque chose de fou ou d'anachronique remet-il en question notre notion de ce qui est réel ou de ce qui ne l'est pas ? Si la physique connaît des fluctuations, ce que le corps scientifique tend à comprendre au fur et à mesure qu'il s'y intéresse, absolument toutes nos notions, nos repères, pourraient éventuellement être amenés à des expériences bouleversantes, au fur et à mesure que nous progressons dans le cours de l'histoire ».
Comme il est devenu l’habitude, une trentaine d’artistes ont investi les plaques de bétons disséminées dans le parc.
Cette fresque est l’œuvre d’Ernst Illm, un artiste marseillais que je découvre ici.
Influencé par les mythes, les fractales ou la cosmologie, Ernst Illm oriente sa production autour de la lumière et de ses textures, avec un certain attrait pour les « figurations abstraites », l’art scientifique ou le psychédélisme.
Le titre de l’œuvre est « The Last Dinosaur ». Elle est composée de trois parties
« Sur le premier panneau, une sorte de physique de départ, l'ère de Planck.
Au centre, un de nos lointains prédécesseurs, le dinosaure (ici nommé Endver) au comportement désigné, presque grotesquement humain : un clin d'œil technologique analogue au nôtre.
Enfin à droite, éléments semi-réels, on peut les définir par des mots ou des aspects, mais leur sens profond se réduit dans cette même énigme
Dans quelle mesure quelque chose de fou ou d'anachronique remet-il en question notre notion de ce qui est réel ou de ce qui ne l'est pas ? Si la physique connaît des fluctuations, ce que le corps scientifique tend à comprendre au fur et à mesure qu'il s'y intéresse, absolument toutes nos notions, nos repères, pourraient éventuellement être amenés à des expériences bouleversantes, au fur et à mesure que nous progressons dans le cours de l'histoire ».
