La Voix Lactée
Auteur : Geneviève Cadieux
Date : Octobre 2011 - (photos prises en 01/2021)
Geneviève Cadieux
Cette mosaïque ne date pas d’hier, elle a été inaugurée il y a bientôt 10 ans (par rapport à la date de prise de vues), en octobre 2011. Une œuvre que l’on trouve dans le couloir de correspondance entre la station de métro Saint-Lazare depuis la ligne 14 et Saint Augustin sur la ligne 9. Elle a été réalisée le cadre des échanges culturels initiés entre la RATP et la Société des transports de Montréal qui illustre les liens d’amitié entre la France et le Québec.
Cette mosaïque en carreaux de verre est l’œuvre de Geneviève Cadieux, une photographe et artiste multimédia québécoise née en 1955. Elle a été réalisée dans les ateliers allemands Franz Mayer, elle est complétée par quelques vers d’un poème d’Anne Hébert, « Une fois seulement ». Ces mots écrits par la romancière, poétesse et dramaturge québécoise, jetés sur les murs de ce couloir anonyme, entraînent le voyageur vers la bouche d’où ils semblent jaillir.
A l’image du corps humain qui s’imprime sur la pellicule, les cicatrices, les plaies, les stigmates s’impriment sur la peau. De même, le grain de la mosaïque peut renvoyer au grain de la peau.
Une œuvre remarquable qui prolonge par sa présence presque incongrue la réflexion de Geneviève Cadieux sur les mises en scène théâtralisées, les interventions dans l’espace urbain. Les installations de la photographe provoquent la rencontre et distillent des notes de poésie dans le quotidien des citadins.
Cette mosaïque en carreaux de verre est l’œuvre de Geneviève Cadieux, une photographe et artiste multimédia québécoise née en 1955. Elle a été réalisée dans les ateliers allemands Franz Mayer, elle est complétée par quelques vers d’un poème d’Anne Hébert, « Une fois seulement ». Ces mots écrits par la romancière, poétesse et dramaturge québécoise, jetés sur les murs de ce couloir anonyme, entraînent le voyageur vers la bouche d’où ils semblent jaillir.
A l’image du corps humain qui s’imprime sur la pellicule, les cicatrices, les plaies, les stigmates s’impriment sur la peau. De même, le grain de la mosaïque peut renvoyer au grain de la peau.
Une œuvre remarquable qui prolonge par sa présence presque incongrue la réflexion de Geneviève Cadieux sur les mises en scène théâtralisées, les interventions dans l’espace urbain. Les installations de la photographe provoquent la rencontre et distillent des notes de poésie dans le quotidien des citadins.
