Pierre Henry
Auteur : Ernesto Novo
Date : Juillet 2022 (photos prises en 07/2022)
Adresse : 32 rue de Toul - Paris XII
Ernesto Novo
Ernesto Novo rend ici hommage à Pierre Henry, le père artistique de la musique concrète.
Pierre Henry est connu du grand public pour le morceau « Psyché Rock » de la suite de danses de la Messe pour le temps présent. Ce morceau, plus accessible de par sa partie instrumentale rock, n'est toutefois pas du tout représentatif de son œuvre musicale, ni de son approche musicale en général.
La fresque est posée à l’endroit même de la maison où vécut Pierre Henry, laquelle accueillait son studio, ses machines ainsi que ses impressionnantes archives. Décédé le 5 juillet 2017, les clés de cette maison furent données le 31 octobre 2018 par Isabelle Warnier, son épouse, au promoteur qui devait construire un immeuble d’habitation à cet emplacement.
Malgré des pétitions adressées à la ministre de la culture et à la maire de Paris, la maison n’a pas pu être sauvée. Heureusement un fond de 20.000 euros a pu être débloqué pour sauver les archives de l’artiste. Une grande partie des instruments et œuvres du musicien restera dans le XIIe arrondissement dans un local situé passage Hennel, à deux pas de la gare de Lyon.
Par ailleurs, les 14 000 boîtes de bandes magnétiques ont été confiées à la Bibliothèque nationale de France (BNF) pour numérisation.
Cette fresque d’Ernesto Novo permet donc de garder la mémoire de ce musicien emblématique.
Pierre Henry est connu du grand public pour le morceau « Psyché Rock » de la suite de danses de la Messe pour le temps présent. Ce morceau, plus accessible de par sa partie instrumentale rock, n'est toutefois pas du tout représentatif de son œuvre musicale, ni de son approche musicale en général.
La fresque est posée à l’endroit même de la maison où vécut Pierre Henry, laquelle accueillait son studio, ses machines ainsi que ses impressionnantes archives. Décédé le 5 juillet 2017, les clés de cette maison furent données le 31 octobre 2018 par Isabelle Warnier, son épouse, au promoteur qui devait construire un immeuble d’habitation à cet emplacement.
Malgré des pétitions adressées à la ministre de la culture et à la maire de Paris, la maison n’a pas pu être sauvée. Heureusement un fond de 20.000 euros a pu être débloqué pour sauver les archives de l’artiste. Une grande partie des instruments et œuvres du musicien restera dans le XIIe arrondissement dans un local situé passage Hennel, à deux pas de la gare de Lyon.
Par ailleurs, les 14 000 boîtes de bandes magnétiques ont été confiées à la Bibliothèque nationale de France (BNF) pour numérisation.
Cette fresque d’Ernesto Novo permet donc de garder la mémoire de ce musicien emblématique.
