C’est du côté du Lavo//Matik qu’on peut le plus surement voir des œuvres d’Andrew Wallas, mais on peut avoir la chance d’en rencontrer ailleurs.
C’est le cas ici, nous sommes à la Poterne des Peupliers. Il y a posé une jeune fille avec des tatouages sur les bras qui regarde rêveusement passer les voitures.
Une pièce pleine de sérénité qui contraste avec le monde agité qui l’entoure.