Plein les Yeux
Auteur : Mako Deuza
Date : Octobre 2019 (photos prises en 07/2020)
Adresse : 116 Rue du Moulin des Prés - Paris XIII
Mako Deuza
Site officiel
Cette porte de garage a subi un superbe lifting avec ce portrait signé Mako Deuza.
Je découvre ici cet artiste qui a migré en corse en 2008. Street-artiste autodidacte, Mako Deuza découvre une région qui n’a pas vraiment l’esprit « street ». Etant sensible à l’environnement dans lequel il évolue, il met alors d’avantage le curseur sur la peinture traditionnelle et s’éloigne un peu des codes de la rue qui n’ont pas vraiment cours ici.
Depuis quelques mois, il revient à ses premières amours, sur l’île de beauté qui se met petit-à-petit à l’art de la rue, mais aussi sur le continent avec des commandes plus ou moins importantes. D’un style très street art, l’artiste passe à des portraits hyperréalistes en s’intéressant tout particulièrement aux contrastes et aux jeux de lumière qui donnent lieu à une véritable recherche artistique.
Cette petite commande privée donne donc aux parisiens l’occasion de découvrir cet artiste, mais aussi de (re)découvrir un quartier du 13ème arrondissement au charme fou.
Autour de la rue Dieulafoy, à proximité de la place de l’Abbé Georges Hénocque, se trouve quarante-quatre maisons élevées sur le même modèle. Ces maisons étroites et surmontées d'un toit pointu recouvert d'ardoise ont été bâties en 1921 par l’architecte Henry Trésal. Il s'agissait alors d’offrir un habitat destiné à une population moyennement aisée, intermédiaire entre la maison bourgeoise et le pavillon de banlieue.
Un siècle plus tard, le quartier a miraculeusement échappé à la vague de modernisme qui a atteint le 13ème arrondissement dans les années 1970, et a gardé toute son authenticité, toute son harmonie. Les temps ayant changé, il est certain que ce quartier sera maintenant préservé durant de nombreuses décennies.
Je découvre ici cet artiste qui a migré en corse en 2008. Street-artiste autodidacte, Mako Deuza découvre une région qui n’a pas vraiment l’esprit « street ». Etant sensible à l’environnement dans lequel il évolue, il met alors d’avantage le curseur sur la peinture traditionnelle et s’éloigne un peu des codes de la rue qui n’ont pas vraiment cours ici.
Depuis quelques mois, il revient à ses premières amours, sur l’île de beauté qui se met petit-à-petit à l’art de la rue, mais aussi sur le continent avec des commandes plus ou moins importantes. D’un style très street art, l’artiste passe à des portraits hyperréalistes en s’intéressant tout particulièrement aux contrastes et aux jeux de lumière qui donnent lieu à une véritable recherche artistique.
Cette petite commande privée donne donc aux parisiens l’occasion de découvrir cet artiste, mais aussi de (re)découvrir un quartier du 13ème arrondissement au charme fou.
Autour de la rue Dieulafoy, à proximité de la place de l’Abbé Georges Hénocque, se trouve quarante-quatre maisons élevées sur le même modèle. Ces maisons étroites et surmontées d'un toit pointu recouvert d'ardoise ont été bâties en 1921 par l’architecte Henry Trésal. Il s'agissait alors d’offrir un habitat destiné à une population moyennement aisée, intermédiaire entre la maison bourgeoise et le pavillon de banlieue.
Un siècle plus tard, le quartier a miraculeusement échappé à la vague de modernisme qui a atteint le 13ème arrondissement dans les années 1970, et a gardé toute son authenticité, toute son harmonie. Les temps ayant changé, il est certain que ce quartier sera maintenant préservé durant de nombreuses décennies.
