Le Bestiaire du Canal
Auteur : Mathieu_1976
Date : Mai 2022 - (photos prises en 08/2023)
Adresse : quai de l'Allier - Paris XIX
Mathieu_1976
Sur le haut des piliers du pont du périphérique qui enjambe le canal Saint-Denis, Mathieu 1976 a réalisé cinq petites pièces.
La première est une tête de mort gonflable, les quatre autres des portraits d’animaux agrémentés d’objets du quotidien (des cerises pour le léopard, des lego pour le zèbre, des chaussures à talon aiguille pour la grenouille).
Les photos ont été prises fin mai 2023, mais l’artiste a réalisé ces petites fresques un plus tôt. Cela correspond à son arrivée sur Paris, et au début d’une aventure qui s’est poursuivie au Spot 13, puis un peu partout dans Paris (en un an, j’ai trouvé 25 fresques dans la capitale…).. Auparavant, il a principalement travaillé à Dreux, sa ville natale, où il s’est fait la main et a commencé à se faire une réputation.
Sur ces piliers, on trouve les ingrédients qui vont faire sa signature, la palette de couleurs et le monde animal confronté à l’univers de l’Homme. Pour moi, c’est la première réalisation parisienne de Mathieu.
A remarquer que les piliers de ce pont ont vu passer Guaté Mao en 2017 (voir ICI). Avec le temps, le lieu est devenu un campement de migrants, puis a été réaménagé, et les piliers investis par les tagueurs (il ne reste que quelques rares traces de Guaté Mao). Peut-être que le travail de Mathieu sera prolongé pour rendre vie à une promenade qui peut vous mener jusqu’à Saint-Denis.
La première est une tête de mort gonflable, les quatre autres des portraits d’animaux agrémentés d’objets du quotidien (des cerises pour le léopard, des lego pour le zèbre, des chaussures à talon aiguille pour la grenouille).
Les photos ont été prises fin mai 2023, mais l’artiste a réalisé ces petites fresques un plus tôt. Cela correspond à son arrivée sur Paris, et au début d’une aventure qui s’est poursuivie au Spot 13, puis un peu partout dans Paris (en un an, j’ai trouvé 25 fresques dans la capitale…).. Auparavant, il a principalement travaillé à Dreux, sa ville natale, où il s’est fait la main et a commencé à se faire une réputation.
Sur ces piliers, on trouve les ingrédients qui vont faire sa signature, la palette de couleurs et le monde animal confronté à l’univers de l’Homme. Pour moi, c’est la première réalisation parisienne de Mathieu.
A remarquer que les piliers de ce pont ont vu passer Guaté Mao en 2017 (voir ICI). Avec le temps, le lieu est devenu un campement de migrants, puis a été réaménagé, et les piliers investis par les tagueurs (il ne reste que quelques rares traces de Guaté Mao). Peut-être que le travail de Mathieu sera prolongé pour rendre vie à une promenade qui peut vous mener jusqu’à Saint-Denis.
