Après Ko-LTR (voir ICI), la galerie Ground Effect continue sa collaboration avec le point Ephémère en confiant le mur à Antoine Bertrand et Chakalligaff.
Le très beau tigre de gauche est l’œuvre d’Antoine Bertrand. Après avoir suivi une formation en BD à Bruxelles et acquit une expérience professionnelle dans le milieu, il découvre le monde du street-art et du graffiti en 2009 en voyageant en Mauritanie et au Japon. Il mêle sa pratique urbaine du graff aux estampes japonaises en travaillant le plus souvent sur fond noir avec des outils naturels du type coquillages, os ou feuilles. Il signe ses œuvres de l’idéogramme du signe du coq.
La pièce de droite est l’œuvre de Chakalligraff (Damien « Dee » Coureau). Il a travaillé 10 ans comme ingénieur de l'art numérique dans l'industrie cinématographique avant de découvrir dans le Calligraffitisme la beauté et la spontanéité que l’ordinateur ne pouvait lui offrir. Ses réalisations sont empreintes de force, de rigueur et de spontanéité. Depuis 2015, il fait partie des 25 artistes sélectionnés dans le monde entier pour être les ambassadeurs du calligraffiti – parmi lesquels on peut retrouver El Seed, Inkman ou Tarek Benaoum.
Il nous propose ici l’idéogramme de l’Empereur.
Après Ko-LTR (voir ICI), la galerie Ground Effect continue sa collaboration avec le point Ephémère en confiant le mur à Antoine Bertrand et Chakalligaff.
Le très beau tigre de gauche est l’œuvre d’Antoine Bertrand. Après avoir suivi une formation en BD à Bruxelles et acquit une expérience professionnelle dans le milieu, il découvre le monde du street-art et du graffiti en 2009 en voyageant en Mauritanie et au Japon. Il mêle sa pratique urbaine du graff aux estampes japonaises en travaillant le plus souvent sur fond noir avec des outils naturels du type coquillages, os ou feuilles. Il signe ses œuvres de l’idéogramme du signe du coq.
La pièce de droite est l’œuvre de Chakalligraff (Damien « Dee » Coureau). Il a travaillé 10 ans comme ingénieur de l'art numérique dans l'industrie cinématographique avant de découvrir dans le Calligraffitisme la beauté et la spontanéité que l’ordinateur ne pouvait lui offrir. Ses réalisations sont empreintes de force, de rigueur et de spontanéité. Depuis 2015, il fait partie des 25 artistes sélectionnés dans le monde entier pour être les ambassadeurs du calligraffiti – parmi lesquels on peut retrouver El Seed, Inkman ou Tarek Benaoum.
Il nous propose ici l’idéogramme de l’Empereur.
Après Ko-LTR (voir ICI), la galerie Ground Effect continue sa collaboration avec le point Ephémère en confiant le mur à Antoine Bertrand et Chakalligaff.
Le très beau tigre de gauche est l’œuvre d’Antoine Bertrand. Après avoir suivi une formation en BD à Bruxelles et acquit une expérience professionnelle dans le milieu, il découvre le monde du street-art et du graffiti en 2009 en voyageant en Mauritanie et au Japon. Il mêle sa pratique urbaine du graff aux estampes japonaises en travaillant le plus souvent sur fond noir avec des outils naturels du type coquillages, os ou feuilles. Il signe ses œuvres de l’idéogramme du signe du coq.
La pièce de droite est l’œuvre de Chakalligraff (Damien « Dee » Coureau). Il a travaillé 10 ans comme ingénieur de l'art numérique dans l'industrie cinématographique avant de découvrir dans le Calligraffitisme la beauté et la spontanéité que l’ordinateur ne pouvait lui offrir. Ses réalisations sont empreintes de force, de rigueur et de spontanéité. Depuis 2015, il fait partie des 25 artistes sélectionnés dans le monde entier pour être les ambassadeurs du calligraffiti – parmi lesquels on peut retrouver El Seed, Inkman ou Tarek Benaoum.
Il nous propose ici l’idéogramme de l’Empereur.
Après Ko-LTR (voir ICI), la galerie Ground Effect continue sa collaboration avec le point Ephémère en confiant le mur à Antoine Bertrand et Chakalligaff.
Le très beau tigre de gauche est l’œuvre d’Antoine Bertrand. Après avoir suivi une formation en BD à Bruxelles et acquit une expérience professionnelle dans le milieu, il découvre le monde du street-art et du graffiti en 2009 en voyageant en Mauritanie et au Japon. Il mêle sa pratique urbaine du graff aux estampes japonaises en travaillant le plus souvent sur fond noir avec des outils naturels du type coquillages, os ou feuilles. Il signe ses œuvres de l’idéogramme du signe du coq.
La pièce de droite est l’œuvre de Chakalligraff (Damien « Dee » Coureau). Il a travaillé 10 ans comme ingénieur de l'art numérique dans l'industrie cinématographique avant de découvrir dans le Calligraffitisme la beauté et la spontanéité que l’ordinateur ne pouvait lui offrir. Ses réalisations sont empreintes de force, de rigueur et de spontanéité. Depuis 2015, il fait partie des 25 artistes sélectionnés dans le monde entier pour être les ambassadeurs du calligraffiti – parmi lesquels on peut retrouver El Seed, Inkman ou Tarek Benaoum.
Il nous propose ici l’idéogramme de l’Empereur.
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Le très beau tigre de gauche est l’œuvre d’Antoine Bertrand. Après avoir suivi une formation en BD à Bruxelles et acquit une expérience professionnelle dans le milieu, il découvre le monde du street-art et du graffiti en 2009 en voyageant en Mauritanie et au Japon. Il mêle sa pratique urbaine du graff aux estampes japonaises en travaillant le plus souvent sur fond noir avec des outils naturels du type coquillages, os ou feuilles. Il signe ses œuvres de l’idéogramme du signe du coq.
La pièce de droite est l’œuvre de Chakalligraff (Damien « Dee » Coureau). Il a travaillé 10 ans comme ingénieur de l'art numérique dans l'industrie cinématographique avant de découvrir dans le Calligraffitisme la beauté et la spontanéité que l’ordinateur ne pouvait lui offrir. Ses réalisations sont empreintes de force, de rigueur et de spontanéité. Depuis 2015, il fait partie des 25 artistes sélectionnés dans le monde entier pour être les ambassadeurs du calligraffiti – parmi lesquels on peut retrouver El Seed, Inkman ou Tarek Benaoum.
Il nous propose ici l’idéogramme de l’Empereur.