Oji – ou Ojidjo, de son vrai nom Jonas Biancolli - apprend à dessiner en même temps qu'il découvre la bombe aérosol, en 2014. Il est alors âgé de 25 ans.
Influencé par la peinture américaine et le design graphique, il développe peu à peu son propre style, en l'enrichissant continuellement par l'apprentissage du dessin et la maîtrise des couleurs. Cela en essayant de ne jamais oublier la poésie, une poésie au service de messages humanistes.
Et puis l’art est aussi pour lui une sorte de thérapie. Comme il le dit lui-même, « La peinture salit les mains, les murs et les fringues, mais elle blanchit la tête et c'est déjà pas mal ».