Cette exposition s’est déroulée durant la saison 2020 de la « Street Art City ».
Ted Nomad est un habitué de la Street Art City, il y est présent tous les ans depuis 2017.
L’exposition qu’il nous propose ici procure une ambiance énigmatique. Les œuvres exposées dans la salle principale sont des portraits peints sur les pages de livres.
« Tout commence par ce livre.
Habituellement, je dessine sur des feuilles volantes. Je voulais me faire un book que je puisse transporter lors de mes déplacements. J’ai alors pris un livre dans ma bibliothèque, j’ai commencé à dessiner dessus et j’ai vu la magie se produire.
En effet l’interaction entre les mots et mes peintures m’est apparue subitement comme une sorte d’engendrement logique. J’ai toujours lu, écrit et dessiné mais dans ce livre pour la première fois, le texte devenait aléatoire, je me servais des mots de quelqu’un d’autre pour créer.
Ça m’a apporté beaucoup de liberté.
Je pouvais extraire une phrase, un mot, un passage et me l’approprier.
Plus je dessinais dans ce livre, plus j’y trouvais un intérêt artistique, quelque chose d’ultra sincère.
Ce livre qui était pour moi une finalité, devenait le début de quelque chose. » (Ted Nomad)
Ted Nomad est un habitué de la Street Art City, il y est présent tous les ans depuis 2017.
L’exposition qu’il nous propose ici procure une ambiance énigmatique. Les œuvres exposées dans la salle principale sont des portraits peints sur les pages de livres.
« Tout commence par ce livre.
Habituellement, je dessine sur des feuilles volantes. Je voulais me faire un book que je puisse transporter lors de mes déplacements. J’ai alors pris un livre dans ma bibliothèque, j’ai commencé à dessiner dessus et j’ai vu la magie se produire.
En effet l’interaction entre les mots et mes peintures m’est apparue subitement comme une sorte d’engendrement logique. J’ai toujours lu, écrit et dessiné mais dans ce livre pour la première fois, le texte devenait aléatoire, je me servais des mots de quelqu’un d’autre pour créer.
Ça m’a apporté beaucoup de liberté.
Je pouvais extraire une phrase, un mot, un passage et me l’approprier.
Plus je dessinais dans ce livre, plus j’y trouvais un intérêt artistique, quelque chose d’ultra sincère.
Ce livre qui était pour moi une finalité, devenait le début de quelque chose. » (Ted Nomad)
