Run Wild
Auteur : Tank & Popek
Date : Septembre 2017 (photos prises en 093/2018)
Adresse : rue des Bons Enfants (face au 48)
Tank & Popek
Site officiel
Cette fresque fait partie de l’édition 2017 de l’Expo de Ouf (#6).
Cette fresque est l’une des trois plus grandes de l’Expo 2017. On la doit au tandem Tank-Popek, des artistes privés de mur extérieur en 2016 pour cause de soucis administratifs (voir leur réalisation en intérieur ICI), invités en séance de rattrapage en 2017.
Et cela en valait la peine !
Les voitures garées sur le parking ne facilitent pas la lecture de la fresque.
De loin, on distingue une sorte de volatile qui pourrait être une chouette ou un hibou, avec son aile blanche déployée sur la gauche et ses griffes acérées en bas. Il s’envole vers le soleil.
En s’approchant, on s’aperçoit que la tête de l’oiseau est une tête d’indienne surmontée de ce qui pourrait être celle d’un castor. On retrouve cependant deux têtes de chouette au bas de la fresque.
Le slogan sur la droite (Run Wild – Course Sauvage) n’éclaire pas vraiment. Mais peu importe, on admire le travail des deux artistes, leur façon d’intégrer des éléments disparates pour créer un ensemble dont chacun pourra faire sa propre lecture.
Une fresque qui ne fait pas que se regarder d’un œil distrait, mais qui se décortique.
Cette fresque est l’une des trois plus grandes de l’Expo 2017. On la doit au tandem Tank-Popek, des artistes privés de mur extérieur en 2016 pour cause de soucis administratifs (voir leur réalisation en intérieur ICI), invités en séance de rattrapage en 2017.
Et cela en valait la peine !
Les voitures garées sur le parking ne facilitent pas la lecture de la fresque.
De loin, on distingue une sorte de volatile qui pourrait être une chouette ou un hibou, avec son aile blanche déployée sur la gauche et ses griffes acérées en bas. Il s’envole vers le soleil.
En s’approchant, on s’aperçoit que la tête de l’oiseau est une tête d’indienne surmontée de ce qui pourrait être celle d’un castor. On retrouve cependant deux têtes de chouette au bas de la fresque.
Le slogan sur la droite (Run Wild – Course Sauvage) n’éclaire pas vraiment. Mais peu importe, on admire le travail des deux artistes, leur façon d’intégrer des éléments disparates pour créer un ensemble dont chacun pourra faire sa propre lecture.
Une fresque qui ne fait pas que se regarder d’un œil distrait, mais qui se décortique.
