Entre deux Mondes
Auteur : Sismik-Azot
Date : Novembre 2017 - (photos prises en 10/2021)
Adresse : av Eugène et Marc Dulout - Pessac (33)
Cette fresque, plus exactement ces deux fresques, ont été réalisées par Sismikazot dans le cadre du festival des « Vibrations Urbaines ».
Les deux compères souhaitaient travailler autour de l’architecte Le Corbusier et de la cité Frugès présente sur la ville de Pessac et classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
La première fresque, abstraite, se situe sur le quai de la gare de Pessac. Elle représente leur vision de la cité Frugès et celle des habitants de Pessac. Certaines lignes d’architecture sont reprises, on peut distinguer la toiture terrasse, les fenêtres en bandeau et l’escalier blanc que l’on retrouve dans la cité. Toutes les phrases inscrites sont des témoignages de passants qui leur ont donné leur point de vue. Nous retrouvons dans cette peinture les couleurs utilisées par Le Corbusier. Le cadre noir, souvent utilisé dans leurs peintures, fait ici aussi une référence à l’amour que l’architecte avait pour les angles droits.
La seconde fresque, figurative, est la plus imposante, celle que les passants remarquent. L’homme assis sur un banc n’est pas un pessacais, il est tiré d’une des nombreuses photos que les artistes prennent pour réaliser leurs fresques, mais il reste anonyme. Il représente une action, un sentiment. Il est ici entre sa journée de travail et le moment où il va rejoindre sa famille après une longue et difficile journée. La cité Frugès est dans son dos, c’est là qu’il habite.
Cet homme est entre deux mondes, assis près le voie ferrée qui sépare Pessac en deux parties. Deux mondes, le travail et le chez-soi, le bien et le mal, les riches et les moins riches…
Les deux compères souhaitaient travailler autour de l’architecte Le Corbusier et de la cité Frugès présente sur la ville de Pessac et classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
La première fresque, abstraite, se situe sur le quai de la gare de Pessac. Elle représente leur vision de la cité Frugès et celle des habitants de Pessac. Certaines lignes d’architecture sont reprises, on peut distinguer la toiture terrasse, les fenêtres en bandeau et l’escalier blanc que l’on retrouve dans la cité. Toutes les phrases inscrites sont des témoignages de passants qui leur ont donné leur point de vue. Nous retrouvons dans cette peinture les couleurs utilisées par Le Corbusier. Le cadre noir, souvent utilisé dans leurs peintures, fait ici aussi une référence à l’amour que l’architecte avait pour les angles droits.
La seconde fresque, figurative, est la plus imposante, celle que les passants remarquent. L’homme assis sur un banc n’est pas un pessacais, il est tiré d’une des nombreuses photos que les artistes prennent pour réaliser leurs fresques, mais il reste anonyme. Il représente une action, un sentiment. Il est ici entre sa journée de travail et le moment où il va rejoindre sa famille après une longue et difficile journée. La cité Frugès est dans son dos, c’est là qu’il habite.
Cet homme est entre deux mondes, assis près le voie ferrée qui sépare Pessac en deux parties. Deux mondes, le travail et le chez-soi, le bien et le mal, les riches et les moins riches…
