L'inconnu de la gare de Jodhpur
Auteur : L'Enfant Libre
Date : Juin 2020 - (photos prises en 09/2020)
Adresse : 31 Avenue du Vercors - Fontaine (38)
L'Enfant Libre
Cette fresque a été réalisée dans le cadre de la sixième édition sur « Street Art Fest » de Grenoble.
Cette petite pièce est l’œuvre d’un artiste grenoblois que je découvre ici, l’Enfant Libre.
Si l’appellation “enfant libre” vient d’un concept en psychothérapie désignant un état du moi où l’individu libère sa créativité et sa spontanéité plutôt que ses peurs et ses obligations, l’artiste grenoblois décide de se faire nommer ainsi car c’est cet aspect de sa personnalité qui l’aide à créer.
Son premier outil d’expression artistique est la photographie. Pendant cinq ans il parcourt les rues afin de capturer le temps qui passe, les visages, les moments anodins.
Il se dirige ensuite vers le street-art, le pochoir devient alors son nouvel instrument de prédilection, avec lequel il reproduit ses propres photographies et parfois celles d’autrui sur les murs.
Dans la recherche d’esthétisme et de finesse dans les détails, L’Enfant Libre compose dans un style sobre et urbain.
Je le découvre donc ici bien qu’il ait participé aux deux éditions précédentes du festival, mais je ne l’avais pas repéré auparavant… L’erreur est rectifiée…
Cette petite pièce est l’œuvre d’un artiste grenoblois que je découvre ici, l’Enfant Libre.
Si l’appellation “enfant libre” vient d’un concept en psychothérapie désignant un état du moi où l’individu libère sa créativité et sa spontanéité plutôt que ses peurs et ses obligations, l’artiste grenoblois décide de se faire nommer ainsi car c’est cet aspect de sa personnalité qui l’aide à créer.
Son premier outil d’expression artistique est la photographie. Pendant cinq ans il parcourt les rues afin de capturer le temps qui passe, les visages, les moments anodins.
Il se dirige ensuite vers le street-art, le pochoir devient alors son nouvel instrument de prédilection, avec lequel il reproduit ses propres photographies et parfois celles d’autrui sur les murs.
Dans la recherche d’esthétisme et de finesse dans les détails, L’Enfant Libre compose dans un style sobre et urbain.
Je le découvre donc ici bien qu’il ait participé aux deux éditions précédentes du festival, mais je ne l’avais pas repéré auparavant… L’erreur est rectifiée…
