L'Etang de Perrot
Greg Gawra est un artiste emblématique de Moselle. Il a créé de nombreuses fresques sur les murs de la vallée de la Fensch afin de faire revivre l’histoire de la Lorraine.
Le gros de ses œuvres datent des années 1980-90, et depuis il se consacre plus à rénover ses fresques qu’à en créer de nouvelles.
Ces deux fresques de Monneren montrent qu’il n’a tout de même pas complètement abandonné l’idée d’agrandir son musée en plein-air.
Il répond ici à une commande privée, ce qui est plutôt rare. Le propriétaire d’un étang de Monneren souhaitait habiller l’entrée de sa propriété, il a immédiatement pensé à Gawra qu’il avait souvent croisé sur le marché de Hayange.
Greg Gawra est surtout connu pour son travail de mémoire de la vie ouvrière, mais il s’est aussi attaché à décrire la vie rurale de la région. Comme à son habitude, il s’est penché sur la « petite histoire », celle des « petites gens », en s’inspirant le plus souvent de gens de connaissances ou de gens croisés au gré de ses pérégrinations.
Derrière ses trompe-l’œil et ses compositions se cachent une volonté de comprendre les rouages qui sous-tendent les rapports humains.
Ici notre œil est captivé par cette vieille dame au visage sillonné de rides, les yeux pourtant pétillants de jeunesse et de malice. Cette grand-mère lorraine, avec son baluchon, sa canne en bois et son fichu noué sur la tête est intemporelle.
Sur l’autre pan de mur, une scène forestière s’offre à nos yeux. Des animaux sauvages de la région vous observent d’un œil tendre.
Deux scènes d’un réalisme saisissant qui montrent que Greg Gawra n’a rien perdu de son talent !
Le gros de ses œuvres datent des années 1980-90, et depuis il se consacre plus à rénover ses fresques qu’à en créer de nouvelles.
Ces deux fresques de Monneren montrent qu’il n’a tout de même pas complètement abandonné l’idée d’agrandir son musée en plein-air.
Il répond ici à une commande privée, ce qui est plutôt rare. Le propriétaire d’un étang de Monneren souhaitait habiller l’entrée de sa propriété, il a immédiatement pensé à Gawra qu’il avait souvent croisé sur le marché de Hayange.
Greg Gawra est surtout connu pour son travail de mémoire de la vie ouvrière, mais il s’est aussi attaché à décrire la vie rurale de la région. Comme à son habitude, il s’est penché sur la « petite histoire », celle des « petites gens », en s’inspirant le plus souvent de gens de connaissances ou de gens croisés au gré de ses pérégrinations.
Derrière ses trompe-l’œil et ses compositions se cachent une volonté de comprendre les rouages qui sous-tendent les rapports humains.
Ici notre œil est captivé par cette vieille dame au visage sillonné de rides, les yeux pourtant pétillants de jeunesse et de malice. Cette grand-mère lorraine, avec son baluchon, sa canne en bois et son fichu noué sur la tête est intemporelle.
Sur l’autre pan de mur, une scène forestière s’offre à nos yeux. Des animaux sauvages de la région vous observent d’un œil tendre.
Deux scènes d’un réalisme saisissant qui montrent que Greg Gawra n’a rien perdu de son talent !
