La Mémoire qui flanche
Rustam Qbic
Cette fresque a été réalisée dans le cadre de la neuvième édition du festival d’art urbain de la ville de Boulogne-sur-Mer organisée en 2024.
On la doit à Rustam Qbic, un artiste russe que je découvre ici.
Rustam QBic aime juxtaposer le familier et l’inattendu pour évoquer un sentiment magique de fantaisie. Dans ses œuvres, Rustam crée son propre monde poétique, plein d'images philosophiques. Son travail est très inspiré par les contes russes, et presque chacune de ses créations regorge d'idées merveilleuses et doivent souvent être vues de près pour en apprécier tous les détails.
Il utilise fréquemment le Rubik's cube dans ses compositions, de façon « brute » ou « travaillée ». Le Rubik’s cube vient souvent remplacer la tête des personnages.
Il s’intéresse ici à la mémoire qui peut s’effrite parfois avec le temps. La tête de la vieille dame est une bibliothèque remplie de livres, qu’elle a probablement lus par le passé. Mais petit-à-petit la bibliothèque se vide de son contenu, elle tente de rattraper cette mémoire qui s’envole, mais cela reste vain…
Une bien belle allégorie !
On la doit à Rustam Qbic, un artiste russe que je découvre ici.
Rustam QBic aime juxtaposer le familier et l’inattendu pour évoquer un sentiment magique de fantaisie. Dans ses œuvres, Rustam crée son propre monde poétique, plein d'images philosophiques. Son travail est très inspiré par les contes russes, et presque chacune de ses créations regorge d'idées merveilleuses et doivent souvent être vues de près pour en apprécier tous les détails.
Il utilise fréquemment le Rubik's cube dans ses compositions, de façon « brute » ou « travaillée ». Le Rubik’s cube vient souvent remplacer la tête des personnages.
Il s’intéresse ici à la mémoire qui peut s’effrite parfois avec le temps. La tête de la vieille dame est une bibliothèque remplie de livres, qu’elle a probablement lus par le passé. Mais petit-à-petit la bibliothèque se vide de son contenu, elle tente de rattraper cette mémoire qui s’envole, mais cela reste vain…
Une bien belle allégorie !
