Voilà ce qu’on peut appeler une fresque « alimentaire », dans tous les sens du terme. Alimentaire car elle promeut l’activité d’un lycée professionnel tourné vers les métiers de bouche, Alimentaire aussi pour l’artiste, car il s’agit ici d’une commande payée, ce qui doit être assez rare pour ce graffeur de Montreuil qui a plus l’habitude de s’approprier leur murs sans attendre une quelconque rétribution.
Mais il faut bien manger ! Le travail effectué n’est pas mal du tout, il a su respecter la commande (l’hôtellerie un peu high-tech d’un côté, la cuisine traditionnelle de l’autre), tout en gardant son style (les couleurs ton sur ton et le lettrage que je n’arrive toujours pas à déchiffrer…).
Mais en 2014, il y a un double problème : d’une part le mur se dégrade à une vitesse grand V, faute à une préparation ratée du mur, d’autre part la fresque est beaucoup moins visible puisqu’un nouveau bâtiment a été construit à quelques mètre à peine de la fresque… J’ai bien peur que tout cela n’abrège drastiquement sa durée de vie.
Pour le plaisir des yeux, la dernière photo que j’ai prise sur Internet montre la fresque avant dégradation et avant construction du nouvel immeuble.
Mais il faut bien manger ! Le travail effectué n’est pas mal du tout, il a su respecter la commande (l’hôtellerie un peu high-tech d’un côté, la cuisine traditionnelle de l’autre), tout en gardant son style (les couleurs ton sur ton et le lettrage que je n’arrive toujours pas à déchiffrer…).
Mais en 2014, il y a un double problème : d’une part le mur se dégrade à une vitesse grand V, faute à une préparation ratée du mur, d’autre part la fresque est beaucoup moins visible puisqu’un nouveau bâtiment a été construit à quelques mètre à peine de la fresque… J’ai bien peur que tout cela n’abrège drastiquement sa durée de vie.
Pour le plaisir des yeux, la dernière photo que j’ai prise sur Internet montre la fresque avant dégradation et avant construction du nouvel immeuble.
