Sèvres est née dans une vallée étroite et s’est étendue au fil des siècles sur ses deux coteaux. Aujourd’hui, elle est parcourue de ruelles, sentes et escaliers qui épousent les particularités de sa topographie.
L’un de ces escaliers part de la Grande Rue pour aboutir au lycée Jean-Pierre Vernant. Appelé au XIXème siècle « les 144 marches », il n’en compte plus aujourd’hui que 140.
C’est donc cet escalier que Sébastien James met à l’honneur sur ce poste technique qui se trouve en face des marches.
La fresque initiale a été peinte en 2007 (4 premières photos). L’artiste a choisi d’utiliser les tons sépia pour cette réalisation, une technique qu’il pratique le plus souvent à cette époque-là.
Le temps ayant fait son œuvre, il décide de la rénover durant l’été 2019 (5 dernières photos prisent début 2025). Il reprend le même thème en modifiant la face donnant sur la Grande Rue pour donner une vue plus large de l’escalier vu du bas.
Ce qui frappe le plus dans cette nouvelle version, c’est le changement de style. On passe d’une représentation sépia très réaliste, à une vue plus colorée et personnelle. Une évolution stylistique qui marque un tournant dans le parcours artistique de Sébastien James.
L’un de ces escaliers part de la Grande Rue pour aboutir au lycée Jean-Pierre Vernant. Appelé au XIXème siècle « les 144 marches », il n’en compte plus aujourd’hui que 140.
C’est donc cet escalier que Sébastien James met à l’honneur sur ce poste technique qui se trouve en face des marches.
La fresque initiale a été peinte en 2007 (4 premières photos). L’artiste a choisi d’utiliser les tons sépia pour cette réalisation, une technique qu’il pratique le plus souvent à cette époque-là.
Le temps ayant fait son œuvre, il décide de la rénover durant l’été 2019 (5 dernières photos prisent début 2025). Il reprend le même thème en modifiant la face donnant sur la Grande Rue pour donner une vue plus large de l’escalier vu du bas.
Ce qui frappe le plus dans cette nouvelle version, c’est le changement de style. On passe d’une représentation sépia très réaliste, à une vue plus colorée et personnelle. Une évolution stylistique qui marque un tournant dans le parcours artistique de Sébastien James.
