Etre un ASS
Auteur : Les Murs ont des Oreilles
Date : Septembre 2020 (photos prises en 04/2021)
Adresse : 21 rue Serpente - Paris VI
Derrière « Les Murs ont des Oreilles », il y a une jeune femme qui s’appelle R, un prénom qu'elle souhaite ne pas divulguer.
A 15-16 ans, elle découvre le plaisir de dessiner sur les murs de Strasbourg. Le rythme effréné de ses études à Khâgne l’empêchant de poursuivre ses activités créatrices, elle se tourne alors vers le collage et se met à disséminer des oreilles un peu partout où elle passe. Nous sommes fin 2019, le concept des murs ont des oreilles est né.
Mi-2020, elle se lance dans une série qui va associer un visuel avec une expression française. Cette série s’appelle « Au pied de la Lettre ». L’oreille reste présente, elle est sa signature.
J’ai pu trouver quelques exemples dans les rues parisiennes, je vais essayer de suivre cette nouvelle production de façon assidue…
Voilà un jeu de mot coquin illustré par cet as de trèfle. « Etre un As » n’est pas « Etre un Ass », le cul dans la langue de Shakespeare…
L’œuvre qui illustre l’expression est le tableau du peintre anglais William Etty « Femme nue de dos » peint entre 1835 et 1840.
Le collage est pas mal dégradé, la prise de vue a été faite plus de six mois après sa pose.
A 15-16 ans, elle découvre le plaisir de dessiner sur les murs de Strasbourg. Le rythme effréné de ses études à Khâgne l’empêchant de poursuivre ses activités créatrices, elle se tourne alors vers le collage et se met à disséminer des oreilles un peu partout où elle passe. Nous sommes fin 2019, le concept des murs ont des oreilles est né.
Mi-2020, elle se lance dans une série qui va associer un visuel avec une expression française. Cette série s’appelle « Au pied de la Lettre ». L’oreille reste présente, elle est sa signature.
J’ai pu trouver quelques exemples dans les rues parisiennes, je vais essayer de suivre cette nouvelle production de façon assidue…
Voilà un jeu de mot coquin illustré par cet as de trèfle. « Etre un As » n’est pas « Etre un Ass », le cul dans la langue de Shakespeare…
L’œuvre qui illustre l’expression est le tableau du peintre anglais William Etty « Femme nue de dos » peint entre 1835 et 1840.
Le collage est pas mal dégradé, la prise de vue a été faite plus de six mois après sa pose.
