Black Lines vient d’occuper la quasi-totalité du mur de la rue de la Fontaine au Roi.
Ce collectif se réunit régulièrement pour dénoncer notre société, souvent les violences policières, comme ici. Mais aussi la démocratie telle qu’ils la voient comme ici encore.
Cette grande fresque n’a pas vécu très longtemps, à peine une semaine.
En discutant avec certains artistes qui ont repris le flambeau du mur, cet effacement précoce est dû à une emprise trop forte sur le mur avec une qualité de réalisation approximative, mais aussi par le désir de conserver une diversité apaisée à l’un des rares murs « libre » de la capitale.
Moi, je respecte Black Lines, mais ne suis pas trop d’accord avec leurs idées, et plutôt d’accord avec l’opinion des « repreneurs ».
Ce collectif se réunit régulièrement pour dénoncer notre société, souvent les violences policières, comme ici. Mais aussi la démocratie telle qu’ils la voient comme ici encore.
Cette grande fresque n’a pas vécu très longtemps, à peine une semaine.
En discutant avec certains artistes qui ont repris le flambeau du mur, cet effacement précoce est dû à une emprise trop forte sur le mur avec une qualité de réalisation approximative, mais aussi par le désir de conserver une diversité apaisée à l’un des rares murs « libre » de la capitale.
Moi, je respecte Black Lines, mais ne suis pas trop d’accord avec leurs idées, et plutôt d’accord avec l’opinion des « repreneurs ».
