La rue Dénoyez reste encore l’un des spots les plus prisés des graffeurs. A l’angle de la rue Ramponeau, il y a le Barbouquin, un lieu de culture où l’on peut prendre un café en lisant un des livres posés sur les étagères, ou bien prendre un petit déjeuner, un brunch ou un gouter, voir une exposition ou assister à un concert improvisé, ou pas. En décembre 2020, Le Barbouquin a fait appel à sept artistes urbains pour relooker la façade qui avait bien souffert par un empilement de graffitis plus ou moins autorisés, et pas toujours du meilleur effet. Parmi les sept, j’en ai retenu quatre. Ernesto Novo n’avait pas dû pouvoir venir pour l’hommage qui avait été rendu à Pedrô en octobre 2020 (voir ICI), il se rattrape ici en nous offrant sur un pilier du bar un portrait en pied de celui qui a été l’âme de cette rue durant des années. Voir ICI l’œuvre d’Akelo Voir ICI l’œuvre de Louyz Voir ICI l’œuvre de Le Long