C’est à l’occasion de la dixième édition du festival « Bouge » que Kashink a été invitée pour créer une fresque participative sur le Local du quartier Penhoët.
Kashink a choisi pour motif les masques de couleur car on retrouve cette tradition dans toutes les cultures. Ils ont un côté universel qui marche à tous les coups.
Il y avait beaucoup de femmes et d’enfants parmi les graffeurs volontaires. « Quand l’art vient vers les gens, ils osent plus facilement. Il n’y a pas ce côté réservé à une élite, apprécie Kashing. C’est un peu la définition du street art, c’est pop et c’est facile d’accès. ».