Le Moussem culturel d’Asilah est un festival de renommée internationale qui met à l’honneur les arts plastiques, le folklore et la littérature, d’où qu’ils proviennent. Depuis quelques années, la très belle médina d’Asilah est mise à la disposition des street-artistes afin de transformer ses murs blancs en véritable galerie à ciel ouvert.
D’une année sur l’autre, les fresques ne résistent pas, car les mêmes murs sont réutilisés à chaque fois. Le festival se tient en août. En 2014, pour sa 36ème édition, le pays invité d'honneur était le Bahreïn.
Déambuler dans les ruelles de la médina d’Asilah, c’est croiser de nombreuses fresques la plus part du temps très colorées et sympathiques à regarder, mais presque toujours réalisées par des artistes inconnus ou fort méconnus pour un occidental comme moi.
Et pourtant, au détour d’une ruelle, je distingue une toute petite fresque qui semble plutôt ancienne, car le bleu de la couleur de fond commence à être délavé, et le crépi du mur se détache par endroit, mais une signature qui enfin me parle ! Borondo !!
Cette réalisation n’est pas la plus remarquable qu’a faite cet artiste (que j’admire beaucoup), il est même possible que je ne me sois même pas arrêté si elle n’avait été signée de lui, mais elle est le témoin d’une époque peut-être lointaine où le talent de l’artiste était encore en devenir. Une sorte d’œuvre archéologique…
D’une année sur l’autre, les fresques ne résistent pas, car les mêmes murs sont réutilisés à chaque fois. Le festival se tient en août. En 2014, pour sa 36ème édition, le pays invité d'honneur était le Bahreïn.
Déambuler dans les ruelles de la médina d’Asilah, c’est croiser de nombreuses fresques la plus part du temps très colorées et sympathiques à regarder, mais presque toujours réalisées par des artistes inconnus ou fort méconnus pour un occidental comme moi.
Et pourtant, au détour d’une ruelle, je distingue une toute petite fresque qui semble plutôt ancienne, car le bleu de la couleur de fond commence à être délavé, et le crépi du mur se détache par endroit, mais une signature qui enfin me parle ! Borondo !!
Cette réalisation n’est pas la plus remarquable qu’a faite cet artiste (que j’admire beaucoup), il est même possible que je ne me sois même pas arrêté si elle n’avait été signée de lui, mais elle est le témoin d’une époque peut-être lointaine où le talent de l’artiste était encore en devenir. Une sorte d’œuvre archéologique…
