Les Compagnons / Daniel Cordier
Auteur : C215
Date : Janv/Fév 2022 - (photos prises en 02/2022)
Adresse : 11 avenue Emile Duquesne - Paris VII
Ce pochoir fait partie du parcours que C215 a réalisé à l’occasion de son exposition « Entre Ombre et Lumière » dans le musée de l’Ordre de la Libération aux Invalides (7 février / 8 mai 2022).
Révolté par le discours du maréchal Pétain du 17 juin 1940, Daniel Cordier embarque avec 16 autres volontaires qu’il a rassemblés pour gagner l’Afrique du Nord. Mais il sera dérouté vers l’Angleterre.
Durant l'été 1941, il est affecté au Bureau Central de Renseignements et d'Action (BCRA), c'est-à-dire les services secrets de la France Libre à Londres.
En août 1942, il rencontre Jean Moulin, et met sur pied un état-major clandestin, avec très peu de moyens et de personnel. En mars 1943, Daniel Cordier organise et dirige à Paris, selon les directives de Jean Moulin, son secrétariat de zone nord. De retour en Angleterre fin mai 1944 et est nommé chef de la section des parachutages d'agents du BCRA.
Intégré à la Direction générale des Etudes et Recherches (DGER) en octobre 1944, il dépouille les archives du BCRA pour permettre la rédaction d’un Livre Blanc. Il restera à ce poste jusqu’au départ du général de Gaulle en janvier 1946.
Révolté par le discours du maréchal Pétain du 17 juin 1940, Daniel Cordier embarque avec 16 autres volontaires qu’il a rassemblés pour gagner l’Afrique du Nord. Mais il sera dérouté vers l’Angleterre.
Durant l'été 1941, il est affecté au Bureau Central de Renseignements et d'Action (BCRA), c'est-à-dire les services secrets de la France Libre à Londres.
En août 1942, il rencontre Jean Moulin, et met sur pied un état-major clandestin, avec très peu de moyens et de personnel. En mars 1943, Daniel Cordier organise et dirige à Paris, selon les directives de Jean Moulin, son secrétariat de zone nord. De retour en Angleterre fin mai 1944 et est nommé chef de la section des parachutages d'agents du BCRA.
Intégré à la Direction générale des Etudes et Recherches (DGER) en octobre 1944, il dépouille les archives du BCRA pour permettre la rédaction d’un Livre Blanc. Il restera à ce poste jusqu’au départ du général de Gaulle en janvier 1946.
